Instructions
polarité (car certains constructeurs utilisent plusieurs dénominations), vous pouvez
la déterminer par un test. Pour ce faire, procédez comme suit :
Connectez la LED à une tension de fonctionnement d’env. 5 V (pile 4,5 V ou 9 V) via
une résistance d’env. 270 R (pour une LED basse tension 4 k 7).
Si la LED s’allume, c’est que la " cathode " de la LED est correctement connectée au
moins. Si la LED ne s’allume pas, c’est qu’elle est branchée dans le sens non
passant (cathode sur le plus) et doit donc être inversée.
1.7 Relais
Enfichez le relais sur la platine et soudez les pattes de raccordement avec les pistes
conductrices.
1.8 Resistance photosensible
Pour finir, soudez la résistance photosensible aux cosses à souder " a " et " c ". Il
n’est pas nécessaire de respecter une polarité particulière. Le côté sensible à la
lumière doit être orienté vers le haut.
LDR = résistance photosensible (LDR 03, 05, 07 ou équivalent)
Avant de mettre le circuit en service, vérifiez que tous les composants sont bien
enfichés et polarisés. Vérifiez sur le côté soudure (côté piste conductrice) si pistes
conductrices n’ont pas été pontées par des restes d’étain, car ceux-ci peuvent
produire des courts-circuits et détruire des composants.
La plupart des kits retournés pour réclamation le sont à cause de mauvaises
soudures (brasures froides, pontages, étain non adapté etc.).
Pour obtenir de petites variations de luminosité (changements de tension), il faut ce
que l’on appelle un bascule de Schmitt. Le bascule de a la propriété de s’allumer
quand la tension d’entrée est un peu plus élevée que la tension à laquelle il s’éteint
de nouveau. Cet écart entre les seuils de commutation permet d’éviter toute
défaillance du relais.
La tension de sortie change soudainement dès que la tension d’entrée passe en
dessous ou au-dessus d’une certaine valeur. La vitesse à laquelle la tension d’entrée
change importe peu. Il est cependant important que cette valeur atteigne la valeur
seuil.
La tension de sortie mesurée au collecteur de T2 ne peut, indépendamment de la
tension d’entrée (résistance photosensible et potentiomètre de réglage), accepter
que deux valeurs.
Avant de nous intéresser à ces propriétés, nous allons d’abord en aborder les effets.
Nous supposons d’abord que la tension mesurée à la base de T1 est très faible, que
la résistance photosensible éclaire, c. à d. que son impédance est basse.
Le transistor T1 est verrouillé, c. à d. que les lignes émetteur-collecteur se
comportent comme des " interrupteurs ouverts "
Le collecteur de T1 présente une tension d’env. 8 V. Dans cet état de commutation,
la base de T2 reçoit via R2 et R4 une tension de polarisation positive. Le transistor
T3 est " conducteur " et sa ligne émetteur-collecteur se comporte comme un " inter-
rupteur fermé ". Dans ces conditions, la tension de base de T3 est si faible que ce
transistor reste en position verrouillée.
Le relais présent dans la ligne du collecteur n’est pas commandé et ses contacts
restent en position de coupure.
Les états de commutation décrits changent lorsque la résistance photosensible est
plongée dans l’obscurité. Dans ce cas, la valeur de résistance entre le point a et le
point c augmente, ce qui signifie que la tension mesurée au niveau de la résistance
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