User manual

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Schéma d’implantation
Il n’est donc pas étonnant que la hausse de la tension nominale de 12 V du tableau de
bord est d’abord limitée à 13,8V (Regler-Einsatz), et qu’une batterie sur refroidit donne
seulement 11 V (ex : aux bornes). Ces oscillations de tension sont seulement un indice
de l’état de charge de l’accu, à savoir quelle est la capacité dont nous disposons.
Quoi de plus logique ? Conserver constamment un oeil sur la tension du tableau de bord
et se protéger contre les mauvaises surprises ?
Grâce à la rangée de 10 LED, vous avez à tout moment un aperçu sur l’état de votre
accu. Ainsi, en cas de doutes, vous pouvez recharger à temps, si jamais le chauffage de
la vitre arrière a consommé trop de courant, ou verser de l’eau, quand la chaleur estivale
contribue à l’évaporation.
Le circuit «fonctionne» sur un CI, particulièrement conçu pour cette tâche de surveillance.
Il s’agit d’un pilote LED à 18 broches LM 3914, qui saisie une gamme de tension
parfaitement délimitée et qui s’active une des dix LED sortantes selon chaque tension
d’entrée actuelle.
Bien entendu, cela est complètement différent de ce que fait habituellement un voltmètre,
indiquant ce qui est généralement une zone fere, commençant au point zéro; au
contraire, le LM 3914 sélectionne une partie très limitée de la zone et la divise ensuite en
10 sections.
Avec chacune des dix LED allumées, il indique donc à quelle position se situe la tension
d’entrée sur la zone étirée (étalement de la plage de mesure).
De ce fait, le CI génère à partir de la tension d’alimentation sur les broches 3&2 une
tension de référence (connexion 7), qui représente en quelque sorte un jalon; elle s’élève
ici typiquement à 2,15 V. La tension d’entrée alimentée sur la broche 5 est la grandeur
de mesure. Lorsque celle-ci se place entre les valeurs limites, qui dominent aux
connexions 4 (valeur inférieure) et 6 (valeur supérieure) grâce aux deux diviseurs de
tension, au moins une des dix diodes brille (deux d’entre elles peuvent briller lors de la
transition).
10 comparateurs en série se situent sur le CI, qui s’activent entre 1,0V et la tension de
référence définie. La tension mesurée elle-même ainsi que les valeurs limites doivent
alors, en principe, être divisées par le diviseur de tension, de sorte qu’elles se déplacent
des limites fixées par le constructeur.
En cas de dépassement inférieur ou supérieure des valeurs limites, les 10 LED restent
éteintes. Mais le but du circuit est quand même d’obtenir une grande définition avec
des écarts plus précis lors de l’alimentation d’une petite zone. Est également très
intéressant le fait que les LED s’allument lorsqu’elles sont sur une source de courant
constant, et ne nécessitent donc pas de résistance de série pour la limitation du courant.
Adapté au tableau de bord des voitures et disposant d’une gradation «linéair de
0,5 V par LED, le circuit est dimensionné de façon à ce qu’il ne recouvre qu’une plage
de mesure de 10,5 ... 15 V; la LED 1 est donc éclairée au niveau de la limite de la
gamme inférieure, et pour 15 V, la LED 10 est allumée. Leurs camarades commutent
par écart de 0,5 V, la 2 à 11,0 V donc, et ainsi de suite jusqu’à la LED 9 qui
s’allume à 14,5 V.
De plus, le circuit est équipé de LED de différentes couleurs : les trois premières et les
trois dernières LED de la chaîne sont rouges et les 5 LED situées au milieu sont vertes.